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vendredi 29 avril 2016

Les Jardins de la Reine 2 Cayo Zaza de Afuera et Cayo Zaza Blanco

Nous continuons notre chemin dans les Jardins de la Reine pour se retrouver dans le cayo Zaza de Afuera le 1er avril. Il s’agit d’une mangrove où nous avons encore rencontré des pêcheurs et des langoustes ! Nous échangerons cette fois de la bière. Pas de poisson d'avril...


 Les Jardins de la Reine sont composés de petits îlots de sable ou de mangrove. Cet archipel a ainsi été baptisé par Christophe Colomb en l'honneur de la reine d'Espagne. Il est composé de 250 îlots dont la biodiversité est exceptionnelle et préservée par un statut de parc marin depuis 1996. Sa superficie de 2170 km2 est entièrement protégée. L'archipel des Jardins de la Reine est situé à environ 95 km au sud de Cuba. Il s'agit d'un véritable dédale de mangroves et de canaux d'eau turquoise, un labyrinthe où le capitaine doit savoir naviguer....  C'est un endroit très sauvage sans aucune trace humaine. La faune est très riche en oiseaux et poissons dont de nombreux pélagiques que nous n'avons pas rencontrés malheureusement ou heureusement...  

 

Certains vont explorer la mangrove et les environs sous marins. Heureusement pas de mauvaises rencontres entre autre comme les crocodiles.... Ce n'est pas un poisson d'avril, il y en a !






 Le troc avec les pêcheurs nous permet de récupérer 4 poissons et quelques langoustes
 Mais nous savons aussi pêcher ! ici une belle carangue que nous mangerons en sushis. La preuve en images !



Merci à mon aide Gauthier qui adore préparer les sushis avec sa maman et qui adore les manger aussi !!!

Le 2 avril nous passerons la nuit à Cayo Zaza Blanco, un autre îlot avec une plage de sable fin 

 Au programme baignade, farniente
 Alice la courageuse travaille le Cned pour rattraper le retard, elle nous fait de beaux poèmes en français... et nous les faits partager en toute intimité


 Après une discussion du programme à venir, nous choisissons de rentrer sur Cassilda le 3 pour visiter un peu le pays en allant à la chute de El Cubano.
En chemin nous rencontrons des navigateurs dont la voile est unique

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